Kyouki no shima

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Style : RPG

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Administrateur : Tsubame et Uruha

Histoire :
Au début du 21ième siècle, le nombre de personnes vivant dans les asiles avait atteint un nombre record. Des dirigeants d'un peu partout dans le monde se penchèrent sur la question lors d'un grand comité. Une idée naquit alors: créer une île artificielle et y contruire un immense asile qui accueillerait plusieurs patients de partout à travers le monde.

L'idée fut approuvée et au début de l'an 2000, les plans de l'île et de l'établissement commencèrent à prendre forme et bien vite, tout fut terminer. La contruction s'ammorca en Septembre de la même année. Il fut décidé que le Japon serait en charge de l'île, celle-ci ayant été placée au sud du pays, ainsi que la construction avec l'aide des autres pays influents du monde, dans l'océan Pacifique. La terre prise pour contruire l'île fut prise du Canada, pays énorme avec une faible population. Les États-Unis investirent plusieurs millier de dollars, ainsi que la France qui elle, en plus, mit au point la plupart des plans pour l'asile.

Le projet prit un peu moins de 7 ans à se finaliser, du plan jusqu'à l'inauguration. Le 31 Décembre 2006 les dirigeants des 8 pays les plus importants du monde se réunirent sur l'île déserte accompagnés de plusieurs médias prévilégiés; l'Allemagne, le Canada, les États-Unis, la France, l'Italie, le Japon, le Royaume-Unis et la Russie. Un long ruban rouge se tenant fièrement devant l'entrée de l'asile, l'Empereur du Japon tenant une longue paire de ciseaux, une expression fière au visage... Puis, le bruit d'un découpage, des acclamations, des flashs, immortalisant à jamais ce jour décisif. L'ouverture de 狂気 の 島 (Kyouki no Shima); l'Île de la Démence.

Le 1er Janvier 2007, le monde entier connaissait l'existence de cette île et déjà, des patients y fûrent transferer. Un directeur avait été nommé pour gérer l'asile sur place, le reste du personnel était aussi engagé et entrait tranquillement dans l'asile, tout comme les patients.

Doucement il se remplit... Doucement la folie monte...