Nom : Tokugawa
Prénom : Haru
Sexe : masculin
Date de naissance : 23 juillet 1987
Lieu de naissance : Hitachiōmiya
Âge : 19ans
Tendance : Homosexuel, bien qu'il lui arrive d'embrasser aussi des filles
* Statut :
Civil : célibataire
Professionel : Mannequin peut étre xD
* Description :
Physique :
Haru a toujours porté des tenues exentriques. Voulant tout le temps qu'on le remarque, il passe son temps à mettre des habits de couleurs et meme des fois il lui prend de mettre des robes car étant un androgyne il aime le maquillage et tout ce qui va avec. Bref il se zape comme une fille mais il peut tout de meme bien mettre un jean normal, ou avec paillettes, pour faire plus mec. Il ne se soucit guère de son apparence car il s'aime comme il est. Une fois pour s'amuser il a enfilé une une jupe de sa mère qui lui allait à ravir comme tout le reste.
Mentale :
Il pense toujours aux autres avant lui même, il est très gentil et attentionné. Il admire ses parents qui jouent a longueur de journée. Son père lui a apprit a composer des chansons depuis qu’il est très jeune et il adore la poésie. Il compose très souvent pour sa sœur et sa mère. Mais il peut lui arrivé d'étre très sadique, en plus il est très narcissique quand meme et il est succeptible ainsi que rancunié, maniaque. Donc il peut devenir un vrai petit démon.
Like :
Il adore jouer de la musique et chanter, c’est lorsqu’il fait de la musique, on voit tout de suite qu’il est dans son élément et qu’il aime vraiment ça. Il adore tout se qui n’a pas de logique et tout se qui ne peut pas avoir d’explication rationnelle. Il est même persuadee qu’il y a eu du paranormal dans sa vie.
Dislikes :
Il n'aime pas qu'on lui dise qu'il a tort. Jamais il ne l'acceptera. Haru détéste qu'on le provoque aussi ou qu'on se moque de son look car si il aime comment il est, c'est pas une personne stupide qui va tout lui cassé. Il n'aime pas non plus étre sale, qu'on le touche sans permission. Par contre quand c'est lui qui demande il faut absolument le faire car sinon il devient méchant et il boude.
* Biographie :
Un univers rempli de paillettes, de strass, de choses ayant énormément de valeurs, d’argent, de faux sourires… Un univers construit et fondé à partir d’images que l’on se donne et que l’on reçoit. Voilà le monde dans lequel Haru Tokugawa a été élevé. Non, ça n’est pas la peine de se dire « oh, pauvre petit garçon pourri gâté », dans le sens où il se sent parfaitement à l’aise dans cette ambiance et ne s’imagine pas ailleurs. Et d’abord, qui pourrait se douter sérieusement que Haru est tel qu’il est réellement aujourd’hui ? Personne, puisque celui-ci n’est pas du tout comme on le pense en réalité. Ca vous étonnerait même. Mais passons sur les origines de ce si délicieux jeune homme en apparence. Croyez-moi, pour bien le connaître, il faut connaître son histoire.
La famille de Haru, les Tokugawa, fait partie de ces rares familles ayant une lignée assez impressionnante et autant d’argent. Sachez qu’ils sont bien au-dessus de tout ce qui est média, et la moindre petite phrase sur eux ayant la possibilité de paraître disparaît quasiment automatiquement. Que ça soit du bien ou du mal, on ne parle pas des Tokugawa. Ils n’ont pas besoin de ça. Au contraire, ils préfèrent la discrétion, comme toutes les familles très très riches. Ca leur permet de vivre dans leur petit monde à eux de gens milliardaires, sans besoin, et profitant de la vie. Oui car malgré tout, les Tokugawa sont présents à de nombreux cocktails, et les plus jeunes vont encore dans les boîtes de nuit à grand succès, dans les parties V.I.P. évidemment. Inutile de préciser que les parents de Haru fréquentent des célébrités, le plus souvent des célébrités à la mode, pour pouvoir se vanter dans le milieu de riches au-dessus de tout. On les voit partout, mais on n’en entend jamais parler. C’est comme ça que ça se passe chez eux et que ça s’est toujours passé. Alors évidemment, on ne change pas les bonnes vieilles habitudes.
Autant dire que Haru est né dans un environnement qui se montrait aimant, mais qui s’intéressait beaucoup plus à l’image qu’il donnait qu’à ce qu’il était réellement. Evidemment qu’ils l’aiment, mais ses parents, Miyako et Samanosuke, préfèrent jouer le rôle de parents modèles. Aussi cèdent-ils très facilement aux caprices de monsieur, lui achetant des jouets plus extravagants les uns que les autres. A trois ans, il a déjà trois poneys. Eh oui, en réalité ce petit garçon, c’est un véritable prince. La fierté de la famille. Et dès ses quatre ans on commence à lui donner des cours de violons. On se plait à la projeter sur les devants de la scène à ses six ans, parce qu’il est mignon tout de même, avec son violon et son archet. A ses dix ans, si on la donne en spectacle, c’est aussi parce qu’il chante avec une très belle voix, et à ses onze ans, il se met sérieusement à la danse. Oui, Haru est un artiste, et il faut dire qu’il est très doué. Dans toutes les soirées, on réserve une petite scène pour un spectacle. Haru est le petit garçon que chaque personne riche rêvait d’avoir.
Mais derrière le sourire d’ange qu’il affiche se cache une personnalité capricieuse et à très mauvais caractère dès que le petit garçon peut utiliser correctement la langue japonaise. C’est peut-être grâce à ça que ses parents lui paient alors des cours de théâtre, exclusivement réservés aux gosses de riches. Bien évidemment, Haru se doit d’avoir le premier rôle. Dans cette petite troupe, on peut y trouver des enfants de célébrités, ou alors des gosses de riches moins riches que Haru et sa famille. Donc Haru a toujours les premiers rôles, et Haru, en excellent actreur à douze ans, ne joue plus le gosse capricieux, même plus devant ses parents, pour devenir une gentil petit garçon parfait. Oui, il a vraiment l’image parfaite. Tout le monde l’aime parce que tout le monde ignore ce qu’il pense de tout le monde. A chaque spectacle donné uniquement pour les « Très Riches », c’est Haru qu’on applaudit d’abord, et les autres après.
Evidemment, Haru ne va pas dans une école. Publique ou privée, c’est beaucoup trop banal pour lui. Et il a déjà bien assez de soi-disant « amis » comme ça pour s’en faire d’autres dans la basse société. Bien évidemment, il fait comme si de rien n’était. Il a toujours su se débrouiller pour ne pas être mélangée à « ces gens du bas », même en ayant l’air parfait et gentil. Haru a donc un précepteur jusqu’à entrer dans le pensionnat. Et apparemment, être beau, talentueux et parfait ne lui suffisait pas, il fallait aussi que Haru s’avère être très intelligent. Les formes et l’adolescence arrivent à leur tour. Le jeune homme plait alors non seulement pour toutes ses soi-disant qualités apparentes, mais en plus pour son corps magnifiquement bien sculpté grâce à la danse. A 13 ans, il devient une joueur de violon extrêmement doué, un chanteur à voix magnifique sachant tout chanter, un comédien de talent et un danseur sachant exprimer les émotions par chaque geste. On lui aurait prévu un avenir dans le monde de la célébrité si Haru n’était pas largement au-dessus de tout ça.
Bref, à 14 ans donc, ses parents lui donnent enfin l’autorisation de sortir avec ses « amis », persuadés que Haru était un ange et qu’il ne ferait pas de bêtises. Ils ont raison. Haru, fidèle à son image, ne fait rien devant tout le monde, mais pense beaucoup. Sa perfection lui ouvre pas mal de portes. Concert en place de choix réduite alors qu’il n’a absolument pas besoin de réduction, proposition parmi les plus grands… Evidemment, Haru dit non. Il ne veut pas que tout le monde l’adule pour abandonner cette vie si bien à cause de stupides fans en délires, d’articles sur lui, de paparazzis et d’autres choses comme ça. Il aime sa vie bourrée d’avantages, dans laquelle il n’y a aucun inconvénient. Tout lui cède parce qu’il le veut, et tout lui cédera encore parce qu’il le voudra. La vie est injuste pour certains, et très bonne pour d’autres. Haru considère avoir une vie parfaite, tout en continuant de donner une image de jeune homme modèle, comme il l’a toujours fait.
Seulement le jour de ses 16ans, il y a un hic. Comprenant qu'il n'était pas comme les autres, Haru avoua à ses parents qu'il aimait les garçons. Ce fut un choc pour la famille. Il resta quand meme 3ans chez lui, bien sur son père l'évitait pour ne pas faire de scandales, et sa mère ne le regardai meme plus comme avant. Haru devenait triste et se refermait sur lui meme. Mais un jour, un beau matin, il demanda à sa bonne, d'aller chercher le courier, comme d'habitude, et elle lui apporta une lettre. Il l'ouvrit dessuite impatient de voir ce qu'elle y contenait. Telle fut la surprise et l'émotion dans laquelle il fut. Se rappellant tout de meme qu'il avait gagné le premier prix du grand concours auquel il avait participé il y'a quelques mois de cela, la lettre lui indiqué donc qu'il avait gagner un séjour, une croisière. Enfin il pouvait étre libre. Haru partit, comme ses parents le souhaitaient, pour l'aventure, la liberté...
* Autre :
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Le mot de la fin : Kanade te kimi wo sasou dokomademo aru kurai sora no yô ni...
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Dim 31 Déc - 8:09
